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Manifeste vibrant, l'invitation est au partage autour de textes à méditer.
De l'archétype de la femme sauvage au cycle de l'eau. La fusion de l'instrument et de la voix embarquent cet objet de 45 minutes. Ouvrons-le à nos jardins d'été et nos quartiers d'hiver.
Participation libre.
Une occasion de se soutenir et coopérer dans nos fragilités, nos doutes et nos sensibilités.
Tu viens ? C'est comme un voyage !
La recherche sonore pour se détendre est quelque chose d’inné chez l’être humain. Les sons aident les tout·e·s petit·e·s à s’endormir. Les bruits des vagues, le son du vent dans les feuilles, ou les mélodies des oiseaux nous apaisent.
Par la Terre qui est son corps, par les Eaux de son ventre vivant, par le Feu de son esprit lumineux, et par l'Air qui est sa respiration. Le cercle est ouvert mais n'est pas brisé.
« La série onirique est comparable à une sorte de monologue qui s’accomplirait à l’insu de la conscience. Ce monologue, parfaitement intelligible dans le rêve, sombre dans l’inconscient durant les périodes de veille, mais ne cesse en réalité jamais. Il est vraisemblable que nous rêvons en fait constamment, même en état de veille, mais que la conscience produit un tel vacarme que le rêve ne nous est alors plus perceptible. »
Carl Gustav Jung. Sur l’interprétation des rêves (1936 - 1941)
Le hang a été voulu, à l'origine, comme un instrument produisant des sons. La particularité du hang est qu'il ne produit pas de notes, mais de riches vibrations. Nous parlons donc de structure sonore plutôt que d'instrument. L'objectif initial pour est de trouver spontanément sa propre musique intérieure avec un outil créatif, méditatif et spirituel. Inspiré·e·s par le steel drum (en anglais tambour d'acier) originaire de Trinité-et-Tobago (Caraïbes). Iels s'essaient immédiatement à la construction de cet instrument : « J'ai été bouleversé par l'énergie et la liberté qui s'en dégageaient. Dans ces îles, c'est un symbole d'indépendance et d'unité, devenu populaire avec l'abolition de l'esclavage. Le lendemain, j'ai essayé d'en fabriquer un avec de vieux bidons ».
Par les Naturalistes DesTerres
A l'automne prochain, lorsque les mares creusées se rempliront grâce aux eaux de pluie et que les adultes viendront se reproduire dans la "mare du petit Saint-Ouen", elles trouveront sur leur chemin deux nouvelles mares dans lesquelles s'installer.
Ortie piquante brûlante. Attention ses graines sont purgatives !...
Propriétes médécinales, sa partie aérienne tiges et feuilles sont cueillies avant la floraison. Par leur richesse en vitamines, minéraux et oligo-éléments, elles sont très reminéralisantes. Elles sont diurétiques, à utiliser en prévention de calculs rénaux et pour l'élimination des acides. Elles agissent aussi sur les états inflammatoires, rhumatismes et crises de goutte. Les feuilles écrasées et humidifiées sèchent les saignements de nez et des petites plaies. Les racines se boivent en infusion.
On ramasse plutôt les jeunes pousses et les feuilles jeunes (les 2 premiers étages) pour les manger crues en pesto et salade, cuites comme des épinards, en soupe, gratin et tarte. On peut les faire sécher et les réduire en poudre pour saupoudrer sur les plats.
Nous savons qu’on ne peut affaiblir les structures de domination sans courir de risques. Grâce à la solidarité, nous partageons le prix de notre résistance et cherchons à parer à la violence des systèmes d’oppression. Nous pouvons être exposées à de la souffrance en conséquence de nos actions, mais nous n’honorons pas la souffrance elle-même. Notre but est d’alléger la souffrance, et notre solidarité s’étend à quiconque subit une répression politique et économique.
STARHAWK
Musée Unterlinden du 01/10/22 au 15/05/23. Le titre de l'exposition, « Le chant des étoiles », fait référence au lien entre l'humanité et le cosmos, l'énergie vitale entre dissolution et expansion.
Elle me fait penser à Pina Bausch. Une rencontre en ce début d'année. C'était jour de grève le musée Unterlinden était vide.
Peindre avec des pinceaux géants à la verticale.
De tout son corps, l’artiste Fabienne Verdier entraîne un pinceau géant. Elle peint une trace abstraite, complexe et détaillée. Le fond sur lequel elle inscrit ce mouvement est une large surface de plusieurs mètres carrés. Elle l’a au préalable préparée, souvent peinte longuement et avec un soin extrême. Cet espace, premier résultat de sa longue réflexion, reçoit alors la trace créée par un mouvement unique et continu de son corps. Au cinéma, on parlerait de plan séquence.
avec des illustrations de Laura Junger